Les départements les plus dépensiers en frais de communication
La Vendée est le département le plus dépensier en frais de communication, avec un coût représentant 111 170 euros pour 10 000 habitants en 2012 ( en baisse de 24% par rapport à 2011).
Un montant bien supérieur à la moyenne des autres départements, mais qui s’explique par un choix stratégique de Bruno Retailleau ( apparenté UMP), qui a pris la suite de Philippe de Villiers à la tête du conseil général. La Vendée a choisi de faire de la communication le coeur de sa stratégie de développement, autour d’évènements comme le Vendée Globe, le Tour de France ou encore TV Vendée. Des investissements plutôt bénéfiques en termes économiques. En 2011, le Tour de France aurait rapporté 28 millions d’euros à l’économie touristique du département. Et à chaque édition, tous les 4 ans, le Vendée Globe générerait 35 millions d’euros de retombées économiques
La Moselle est le 2ème département le plus dépensier en frais de communication, avec une dépense de 73 076 euros pour 10 000 habitants en 2012 ( en hausse de 5% par rapport à 2011). Le budget communication et évènementiel de la Moselle s’élevait à 6 721 714 euros en 2012. Suivent ensuite le Territoire de Belfort ( PS), avec des frais de communication s’élevant à 67 121 euros pour 10 000 habitants en 2012 ( +11%), le Val de Marne ( PCF) avec des frais de communication de 64574 euros pour 10 000 habitants ( +2%), la Meuse ( UDI) avec 61 135 euros de frais de communication pour 10 000 habitants ( +16%), et les Bouches du Rhône, dont les dépenses en frais de communication représentaient 57 944 euros pour 10 000 habitants en 2012 ( +4%).
source: le Figaro magazine
Vous confondez dépense et investissement…
Je confirme pour le bastion soviétique du Val-de-Marne, où le budget consacré à la propagande atteint des sommets. Dans la seule ville d’Ivry-sur-Seine (où le maire P. Gosnat, fruit du népotisme, est noté très justement 0/20 par Contribuables associés !), une cinquantaine d’employés municipaux (sur quelque 3500 employés municipaux, pour 60 000 habitants…) sont exclusivement affectés au service de la propagande, et encore ne s’agit-il que du chiffre officiel.