La dette publique à 93,5% du PIB fin 2013
La dette publique française a atteint 93,5% du PIB fin 2013, et s’élève désormais à 1 925,3 milliards d’euros.
La dette publique française est désormais chiffrée à 1 925,3 milliards d’euros, soit 93,5% du PIB. La dette publique a ainsi augmenté de 84,3 milliards d’euros en 2013, après avoir augmenté de 116,1 milliards d’euros en 2012.
La dette publique française fin 2013 est donc supérieure aux prévisions officielles du gouvernement qui tablait sur une dette à 93,4% du PIB. D’après Bercy, «hors soutien financier aux États européens et financement de la capitalisation du Mécanisme européen de stabilité, le ratio de dette s’élève à 90,4 %, en ligne avec la prévision du gouvernement».
Le gouvernement prévoit toujours de ramener la dette publique à 95,1 % du PIB fin 2014 puis 94,7 % fin 2015.
source: le Figaro
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On en parle un peu plus depuis 2, 3 ans mais sans vraiment prendre la réelle mesure de la catastrophe.
La dette publique, c’est en fait le problème n° 1 du pays, devant le chômage ; je pèse mes mots.
Quand on pense chômage, on pense à soi maintenant. Quand on pense dette publique on pense (en fait on ne pense pas) à ceux à qui on refile le mistigri. Ah, c’est courageux !
2 000 milliards €. de dettes publiques quasiment selon la bannière qui défile sur le site. C’est énormissime mais en réalité ça n’affole pas vraiment grand monde, il faut bien le dire. On parlotte, on parlotte, et pendant ce temps là, ça monte, ça monte.
Et la gauche qui veut de la relance keynésienne et des niches sociales.
Et la droite qui veut des allègements d’impôts, de charges et des niches fiscales.
Et ces 2 camps qui nous pourrissent la vie avec leur gue-guerre de boutons, tout ça sur le dos des générations futures qui n’ont rien demandé. Ils sont aussi inconscients les uns que les autres : y a pas de différence à faire.
De la futilité des gens de pouvoir qui se pensent sérieux et se croient utiles au pays !
Pour un Etat glouton, il y a deux façons de se nourrir, la dette ou l’impôt, voir les deux en même temps.
Lorsqu’il n’est plus soutenable de s’endetter on passe aux impôts voir à la vente des bijoux de famille.
Le problème, c’est lorsque l’impôt ne suffit plus à faire diminuer la dette et que les deux progressent ensemble.
Mais ne soyons pas pessimistes, les uns voulant faire aussi bien que les autres lorsqu’ils sont aux manettes, il leur reste encore 400 milliards à emprunter d’ici 2017 pour faire aussi bien que leurs prédécesseurs et ainsi améliorer notre quotidien….!
Magouille et corruption, les deux mamelles de la « crise » et autant de crimes contre le peuple.
http://www.associationmieuxvivredanslatransparence.fr – bernard ALGHISI