Dette publique : la France en faillite ? Colloque organisé le jeudi 25 novembre 2010
Contribuables Associés et l’ Iref vous invitent à assister au colloque qu’ils organisent à Paris le jeudi 25 novembre 2010 de 18 h 30 à 20 heures au musée de l’Armée, Hôtel national des Invalides, Auditorium Austerlitz, 129, rue de Grenelle, 75007 Paris (entrée par l’esplanade des Invalides).
Dette publique : la France en faillite ?
Avec la participation de François d’ Aubert, ancien ministre, délégué à la lutte contre les juridictions et territoires non coopératifs au ministère de l’Économie et des Finances.
Ouverture du colloque par Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF *.
• Les scénarios de crise de la dette, par Philippe Herlin, chercheur en Finances, auteur de France, la faillite ?, éditions Eyrolles**.
• Dette publique et croissance : une perspective européenne, par Victoria Curzon-Price, professeur d’économie politique à l’Université de Genève, administrateur de l’IREF.
• Le contribuable va-t-il éponger les dettes ?, par Jacques Garello, professeur émérite à l’Université Paul-Cézanne, administrateur de l’IREF.
Conclusion par Alain Mathieu, président de Contribuables Associés.
Animateur : Benoîte Taffin, porte-parole de Contribuables Associés.
* IREF : Institut de recherches économiques et fiscales
** En vente sur place au prix de 14 euros
ATTENTION ! Places limitées, inscription obligatoire avant le 22 novembre.
Participation aux frais de 5€, inscrivez- vous en ligne sur notre site entièrement sécurisé.
Il ne faut pas confondre « faillite de l’Etat français » et « faillite de la France »!
L’Etat français tente de faire croire qu’il serait la France à lui tout seul. C’est faux. Et les médias répètent ce mensonge.
L’Etat français est différent de la France? différent des contribuables français. L’Etat français vole aux contribuables français la moitié de leur production. Il ne faut pas confondre le violeur et ses victimes.
erratum sur la 5eme ligne : remplacer le point d’interrogation par une virgule
erratum sur la dernière ligne : lire « le voleur »