Le 23/02/2012

Montant de la dépense publique liée à la dépendance

Quel est le montant de la dépense publique engendrée par la dépendance ? Depuis plusieurs années, les rapports tentant d’évaluer le coût de la dépendance se succèdent. A l’occasion de débats sur la dépendance lancés par Roselyne Bachelot en 2011, un groupe de travail avait planché sur la question du prix de la dépendance. D’après […]

Quel est le montant de la dépense publique engendrée par la dépendance ?

Coût de la dépendanceDepuis plusieurs années, les rapports tentant d’évaluer le coût de la dépendance se succèdent. A l’occasion de débats sur la dépendance lancés par en 2011, un groupe de travail avait planché sur la question du prix de la dépendance.

D’après ce rapport, la dépense publique engendrée par la dépendance des personnes âgées peut être évaluée à environ 24 milliards d’euros en 2010, soit 1,3% du PIB. Le rapport note que les dépenses sont d’abord consacrées aux soins pour près de 14 milliards d’euros, à la perte d’autonomie pour 7,7 milliards d’euros et à l’hébergement pour 2,2 milliards d’euros.

Le ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale fournit désormais des chiffres différents quant au coût de la dépendance, et évalue le budget de la dépendance à 20 milliards d’euros par an à l’horizon 2030. En 2020, la France devrait compter 17 millions de 60 ans et plus, dont 2 millions auront plus de 85 ans…

source: Libération

Publié par Rédaction le 23/02/12

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Par Michel G, le 24/02/2012

Plus de 10700 établissements EHPAD et MAPAD en France.
Avec en moyenne 60 résidents dépendants par établissements.
Travaillant dans la partie de la traçabilité des soins, je ne peux que constater les malversations de plus de 90 % de ces établissements.
Exemple des plus communs:
Une personne âgée rentre en GIR 6, donc pouvant manger, se laver, se déplacer seule et n’ayant que quelques déperditions de mémoires.En deux mois elle se retrouve en GIR 3 ou 2.
Le pourquoi est simple.
Les médecins coordonnateurs on tout intéret a faire baisser leur GIR, car plus le GIR est bas et plus l’établissement reçoit de subventions de l’état.
Sur plusieurs centaines d’établissements que j’ai visité ce sont 80 % des residents qui sont maintenus dans un état vegétatif de sommnolence par médicament afin de palier au manque volontaire de personnel dans un seul but financier.

Par Jacques FAURE, le 24/02/2012

Remarquons que c’est comme les balançoires anciennes de notre jeunesse. Quand un des deux partenaires se trouvait le plus bas, c’est que l’autre se trouvait le plus bas.
Donc c’est logique pour les GIR.
Où est l’intérêt pour la personne âgée?
Où sont les économies pour les établissements?
On appelle ça du bricolage.

Par fournier, le 02/03/2012

je vous invite a lire sur mon blog le billet sur le sujet 2 ans d’enquete

Par fournier, le 02/03/2012

mon blog :l oeil de romans

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