Subvention à la mosquée de Brest
L’attribution d’une subvention de 160 000 euros à la mosquée de Brest attise les passions des élus.
La ville de Brest devrait en effet verser une subvention de 160 000 euros pour sa mosquée, mais les élus d’opposition s’interrogent sur la légalité de cette subvention.
L’ élue du groupe Divers droite Brigitte Hu s’interroge sur la justification d’une subvention de 160 000 euros à la mosquée de Brest, un « édifice cultuel musulman »: « La loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État énonce clairement l’impossibilité pour les communes de participer directement au financement des différents cultes religieux […] Si la ville de Brest finance les travaux de rénovation de certaines églises, c’est en vertu de sa mission de propriétaire de ces mêmes locaux. Mais en vertu de quelle loi François Cuillandre ( maire socialiste de Brest) a-t-il choisi d’attribuer, dans le budget 2013 de la ville, une subvention de 160 000 € sous l’intitulé « Travaux édifice cultuel musulman » ? […] S’agit-il d’un local privé appartenant à la communauté musulmane ou d’un local municipal mis à disposition. Dans ce dernier cas, quels types de travaux peuvent justifier l’octroi d’une somme aussi importante« .
La ville de Brest reconnaît une « erreur » et affirme que la subvention à la mosquée de Brest ne s’élève qu’à « quelques milliers d’euros » et ira à un « édifice culturel » et non « cultuel ».
En vertu de la loi de 1905 sur la laïcité, seuls les édifices religieux situés en Alsace-Moselle peuvent recevoir des subventions de l’Etat, comme la Grande Mosquée de Strasbourg ( voir Subventions à la grande Mosquée de Strasbourg ).
source: saphirnews.com
C’est peut-être pour payer la dhimma ?
Rappel wikipédien : Un dhimmi (en arabe : ذمّي, habituellement traduit en français par « allié » ou « protégé ») est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma[1]) déterminant ses droits et devoirs[2].moyennant l’acquittement d’un impôt de capitation (jizya)[3], d’un impôt foncier (kharâj)[3], d’une certaine incapacité juridique et du respect de certaines règles édictées dans un « pacte »
On n’a pas besoin de ces bâtiments « muslims » alors pourquoi jeter l’argent par les portes et les fenêtres !
j encourage vraiment les gents qui participe avec ce qu’ ils peuvent pour la mosquée
on aimerai habiter a brest rien pour cette mosquée et surtout son imam notre cheikh rachid