Le 14/04/2014

Fleur Pellerin réclame un hôtel particulier pour son secrétariat d’ Etat

Fleur Pellerin, fraichement nommée secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, n'apprécie guère ses nouveaux bureaux du Quai d'Orsay.

Fleur Pellerin, fraîchement nommée secrétaire d’Etat au Commerce extérieur, au Tourisme et aux Français de l’étranger, n’apprécie guère ses nouveaux bureaux du Quai d’Orsay.

Fleur Pellerin réclame un hôtel particulier pour son secrétariat d' Etat

A peine nommée secrétaire d’Etat au Commerce extérieur, Fleur Pellerin a fait part de son mécontentement concernant ses nouveaux bureaux, anciennement occupés par Yamina Benguigui, situés dans une aile du Quai d’ Orsay et trop éloignés de ceux de à son goût.

Fleur Pellerin a demandé au ministère des Affaires étrangères d’installer ses nouveaux bureaux dans un hôtel particulier du 7ème arrondissement de Paris, ce qui lui a été refusé. Fleur Pellerin a donc réitéré sa réclamation auprès de Matignon, qui n’a pas non plus cédé à son caprice.

Les bureaux du secrétariat au Commerce extérieur de Fleur Pellerin resteront donc, ne lui en déplaise, dans le ministère des Affaires étrangères…

source: le Parisien

Publié par Rédaction le 14/04/14

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Par Ramamurthi, le 15/04/2014

Encore une « nouvelle » socialo qui pense pouvoir « p… » plus haut que son « k.. »!
Ces socialos ne changeront jamais !
Faut être VRAIMENT « k.. » pour voter pour eux !

Par Merle, le 15/04/2014

Virer les ministres récalcitrants

Par jacswr, le 15/04/2014

Sans tomber dans l’excès, il faut peut-être regarder du côté des locaux de M. Fabius qui lui ne doit pas manquer de place !!

Par Amok, le 15/04/2014

C’est une intox, un « fake » ; l’équipe de Fleur Pellerin cherche bien des locaux et la Ministre a diffusé un tweet pour remettre les pendules à l’heure : « les dorures ne sont pas trop de son goût », mais il faut bien que le commerce extérieur trouve une place au Quai d’Orsay si cette mission régalienne lui échoit.
Contribuables … il faudrait apprendre à respecter le bon sens : ce ne sont pas nos institutions qui coûtent trop cher, mais nos banquiers !

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