Le grand gaspillage des subventions publiques
Dans la ligne de mire des contempteurs des gaspillages d’argent public: les budgets de communication ( 135 millions d’euros par an pour les seules régions françaises), les missions au bout du monde et les subventions publiques.
Dans son rapport 2014, la Cour des comptes épingle « une procédure mal encadrée », « une logique de guichet » et les « conditions d’attribution floues » qui ont présidé à la distribution de petites et grosses subventions aux associations de Provence-Alpes-Côte d’Azur: « En 2010, la région a accordé 190 millions d’euros de subventions à 5600 associations. Le département des Bouches-du-Rhône a dépensé la même année 100 millions d’euros pour 4600 structures associatives. » Une générosité qui alimente les soupçons de clientélisme…
En diminuant sa dotation générale aux collectivités de 11 milliards d’euros d’ici à 2017, l’Etat va contraindre es élus à quelques révisions déchirantes. « Les territoires vont devoir choisir entre s’endetter plus, augmenter les impôts et réduire leurs interventions », explique un président de conseil régional. Du côté du gouvernement, on se veut plus positif. « La réforme territoriale va justement aider les collectivités à faire les économies nécessaires », affirme un conseiller ministériel ( voir Quelles économies avec la réforme territoriale ?). Prudent avec des fonctionnaires qui lui sont traditionnellement favorables, l’exécutif préconise tout de même un gel des effectifs. La stabilisation de la fonction territoriale, qui croît de 1,6% par an, permettrait d’économiser près de 6 milliards lors des 5 prochaines années.
Et des gains de productivité sont envisageables: la Cour régionale des comptes du Languedoc-Roussillon a calculé que l’absentéisme avait coûté 7,5 millions d’euros au Conseil général du Gard en 2009… ( voir Coût de l’ absentéisme dans la fonction publique)
source: le Nouvel Observateur
Le salon du livre a lieu tous les ans à Montreuil en automne. Cet événement qui vise à permettre aux maisons d’édition et autres libraires privés de vendre leurs livres est hautement subventionnée par toutes les institutions publiques possibles et imaginables dont la commune de Montreuil déjà fort endettée. Un élu de l’opposition a listé les subventions au dernier CM, malgré la tentative du Maire pour le faire taire, mais je n’ai pas pensé à les noter sur le moment.
Hé dire qu’il n’y a pas une tune, Dans l’Entraidances communale et celles-ci point viablement attrayancées thématiquement !!!;
Heureusement qu’il y’a des structures paumées dites « associativo-subventionnées ».
PS: aie, l’ouvrier va encore voté « F.N », ça fera encore la Une des médias pourris