Dunkerque : les privilèges des fonctionnaires de la communauté urbaine
Rien n’est trop beau pour les fonctionnaires de la Communauté urbaine de Dunkerque.
Alors que le péquin moyen se satisfait de cinq semaines de congés payés, les fonctionnaires de la CUD jouissent en moyenne de 54 jours par an, révèle un rapport de novembre 2007 de la Chambre régionale des comptes du Nord-Pas-de-Calais. Ce qui ne semble pourtant pas empêcher l’absentéisme.
Quant aux primes annuelles, elles représentent près de six mois de rémunération brute.
Ajoutons à cela les primes de vacances (1 163,62 euros), des frais d’habillement (129,16 euros) ou de repas (661,29 euros).
« Rien que de très légal », rétorque la CUD qui n’oublie pas ses élus.
Le budget de fonctionnement des groupes politiques est de 294 000 euros par an. Il a augmenté de 40% entre 2001 et 2007.
Source : Entreprises & Management
On se fout vraiment du monde!
et ce sont ceux la que l’on voit dans les manisfestations et greves ???
Bravo monsieur le président de la cub de Dunkerque , au moins vous , vous etes reconnaissant .
Vos fonctionnaires revoterons pour vous …..
savez vous que la France se porte très mal grace à l’addition de tels privilèges.
pas vous sans doute…..
ET qui paient toutes ces primes??
Nous !!! nous !!!! Les petits SMICARDS !!!!!
Bande de ****** !!!!!!
Si les Electeurs constatent un abus localement, c’est au niveau local qu’il convient d’agir soit, au travers de petitions et de demarches et manifestations officielles et peut-être faire procéder au contrôle de certains absenteismes par les organismes ad hoc…
Sans ces primes, les salaires (des employés j’entends, pas des « chefs » et élus)seraint médiocres; Les retraites seront de fait minimes car les primes ne sont pas prises en compte . Contrairement aux idées reçues, les agents fonctionnaires gagnent moins que dans le privé mais il est vrai q’ils ont en revanche la sécurité de l’emploi. Des abus, il y en a certes mais surtout au niveau de la classe politique locale et des soi-disant Directeurs de service
Depuis 2007, l’agglo artois com à béthune près de lens prend en charge le budget de la structure « La Pomme à tout faire » petite association culturel qui a son siège également à béthune. Mercredi, elle a voté des subventions de 150 000 et 170 000 E
L’homme à tout (trop) faire de la capitale de la culture
vendredi 19.11.2010, 05:04 – La Voix du Nord
Jean-Paul Korbas doit-il laisser tomber une casquette?
Discret sur le sujet, l’homme n’a pas répondu à nos sollicitations hier. Au siège d’Artois Comm., …
le cumul des casquettesa pourtant fini par se voir. Et certains élus, échaudés par le manque de communication sur la capitale, décoifferaient bien Jean-Paul Korbas, directeur des affaires culturelles à Bruay. Deux fonctions les chiffonnent. L’homme est détaché auprès d’Artois Comm. comme chef de projet Béthune 2011. À ce titre, il est membre du comité technique à la Région et a participé au choix des projets subventionnés. Or, il est aussi président de La Pomme à tout faire, l’asso gérant les expositions du Lab-Labanque.
Cet hiver déjà, l’ancienne adjointe à la culture Nathalie Jakobczyk, vent debout contre par la mise à l’écart du musée d’Ethnologie régionale dans les structures financées par Béthune 2011, s’interrogeait : « On peut se demander s’il n’y a pas conflit d’intérêts quand, pour Artois Comm., on retrouve, dans ce comité technique, le directeur des services culturels de la ville de Bruay qui est aussi président de l’association de La Pomme à tout faire qui gère les expos de Lab Labanque. » Depuis, rien n’a changé. Il cumule toujours les fonctions. Ça en agace plus d’un.
Pourtant comme prévu, le conseil communautaire a voté les subventions pour la capitale régionale. Sauf que la surprise est venue du conseiller divionnais Thomas Boulard. Lequel a soulevé publiquement le problème du mélange des fonctions, voire des intérêts, et fustigé ce secret de Polichinelle. « Cette association est gérée par votre conseiller culturel », a-t-il martelé à l’adresse d’un président impassible. Visiblement embarrassé sur ce point, Eric Deleval a répondu à la question de façon détournée. Déjà à l’époque des interrogations de Nathalie Jakobczyk, le vice-président en charge de la culture n’avait répliqué qu’aux critiques concernant le fonctionnement et la fréquentation du Lab. Mercredi, s’il n’a pas évoqué directement le président de La Pomme à tout faire, il a tout même confié qu’après la capitale et les travaux du Lab, la gestion ne serait plus exclusive, acquiesçant qu’« il (leur) faudra effectivement envisager un mode de gestion différent ».
Depuis 2007, l’agglo prend en charge le budget de la structure où La Pomme à tout faire a son siège. Mercredi, elle a voté des subventions de 150 000 et 170 000 E pour les projets de l’association. • CH.-O. B.