Lu dans Le Canard enchaîné paru en kiosque le 13/11/13 :

Le ciel est sombre comme les perspectives électorales, le fond de l’air est délétère, et les calamités succèdent aux dégâts. Les plans sociaux s’envolent en rafales, et le climat ne cesse de se détériorer.

Après l’écotaxe ( voir Qui va payer les portiques Ecomouv?), c’est la TVA qui est attaquée. On voit des poneys dans la rue, des assureurs, des artisans, on attend des enseignants. Le tout sur fond de soucieuses dégradations. Et pas seulement celle des portiques bretons ou de la cote de popularité, déjà archidévastée, de l’exécutif. Mais surtout celle de la note de la France, à laquelle Standard & Poor’s vient de balancer un sévère coup de pied de l’âne pour « incapacité du gouvernement à réduire les dépenses de l’ Etat de manière significative« , réformes insuffisantes, chômage élevé, etc. Comme si la tempête ne devait jamais s’arrêter.

Mais le capitaine de pédalo reste d’un optimisme forcené. Même la tête sous l’eau.

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