La politique fiscale du gouvernement Ayrault ne fonctionne pas
La politique fiscale du gouvernement Ayrault ne fonctionne pas: les recettes fiscales sont inférieures de 15 milliards d’euros par rapport aux prévisions de la loi de finance de 2013.
Le déficit budgétaire en exécution affiche une hausse de 2,7 milliards d’euros par rapport au projet de loi rectificatif voté en novembre 2013 et de près de 13 milliards par rapport à la loi de finances initiale présentée en septembre 2012 !
Les recettes fiscales sont quant elles inférieures de 15 milliards d’euros par rapport aux prévisions du gouvernement lors de la loi de finance initiale de septembre 2012. Par rapport à la loi de finances rectificative de 2013 présentée en novembre dernier, la chute des recettes fiscale s’élève à « seulement » 3,5 milliards d’euros. Où l’art de manier les chiffres selon le gouvernement.
Le gouvernement avait déjà été contraint de reconnaître en novembre dernier que les recettes fiscales pour 2013 seraient de 11 milliards inférieures par rapport aux prévisions initiales. Au final, les recettes fiscales sont inférieures de 15 milliards d’euros par rapport aux prévisions initiales. Voilà donc les résultats de la politique fiscale du gouvernement Ayrault.
source: le Figaro
il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que les comptes ne sont pas équilibrés !
Un élevé moyen de CM2 est capable de le comprendre, je l’ai compris, c’est dire si c’est facile.
D’un côté il accorde des aides ou supprime des impôts, mais il n’y a pas de rentrée pour équilibrer, donc ça ne va pas et nous passerons à la caisse pour compenser.
Il devient urgent si ce n’est déjà trop tard, de lui parler de la courbe de LAFFER
L’argent ne rentre pas.
Moi je soupçonne F. Hollande d’être passé cette année pour la première fois à l’annonce de la réduction des dépenses publique en grande partie pour cette raison.
Comme il constate que la hausse des impôts arrive aux taquets comme on dit, comme le montant des impôts stagne ou décroît du fait de la courbe de Laffer, eh bien pour équilibrer les budgets publics, il faut maintenant en passer par la réduction des dépenses publiques.
Cela réduit son mérite à dire le bon sens.
Mais peu importe, l’essentiel reste de le dire, l’essentiel est de dire : maintenant place à la réduction des dépenses.
Maintenant supprimons carrément des officines publiques.
Par exemple les sous préfectures et petites mairies, par exemple les comités théodule dans tous les coins, par exemple les bâtiments publics inutiles par mise en vente, par exemple la moitié des députés et sénateurs, par exemple la moitié des ministères et ministères délégués, par exemple la moitié des conseillers ministériels officiels ou officieux, par exemple la moitié des aides aux entreprises, par exemple la moitié des niches fiscales, par exemple la moitié des dispositifs sociaux, par exemple la moitié des consulats, voire ambassades, la moitié des missions OPEX de l’armée…