Astaffort – subventions en baisse
Lors du dernier Conseil municipal d’ Astaffort (Lot-et-Garonne) et pour faire face à un budget de rigueur, une réduction des subventions aux associations a été décidée. Seule association dont la subvention augmente, La Ninouéro, la crèche associative, a pérennisé un poste : elle se voit reverser une subvention de la CAF, que celle-ci verse à la commune pour le centre de loisir et la crèche.
Les subventions votées maintenues sont les suivantes : Aclep, Centre de loisirs 6 000 euros ; arts martiaux 1 750 euros ; Asta-Ping 600 euros ; Ecoute ton village 400 euros; Musique et Culture 14 000 euros ; club de tennis 1 500 euros ; Asta-rando 70 euros (cotisation assurance) ; Basket-Club Layrac-Astaffort 2 500 euros ; coopérative scolaire primaire 2 660 euros ; Restaurants du coeur 300 euros ; Secours populaire 300 euros ; Secours catholique 300 euros ; Sporting-Club Astaffortais football 4 250 euros ; Union délégués département éducation 30 euros. La nouvelle association du don du sang s’est vu attribuer 150 euros.
Moins d’argent
Les associations qui se voient supprimer ou baisser les subventions : Amicale des pompiers 100 euros (750 en 2008) ; gymnastique volontaire 100 euros (300 en 2008) ; Bille en tête 5 000 euros (29 000 en 2008, plus d’animateur des jeunes); Cercle de Barbonvielle 0 euro (80 en 2008 ; un vote contre, Michel Estéban) ; Comité des fêtes 0 euro (association en cessation d’activité) ; Coopérative maternelle 0 euro ; Fil croix et compagnie 100 euros (200 en 2008); Boule astaffortaise 100 euros (400 en 2008) ; Office de tourisme 1 500 euros (4 500 en 2008, l’association est en cours de passage sous la compétence de la CCAB, si retard possibilité de modification en cours d’année) ; Société archéologique de l’Albret 0 euro (la médiathèque achète la revue).
Ecole privée
La subvention pour le voyage de l’école primaire Sainte-Geneviève de 700 euros est suspendue au résultat du nouveau calcul de l’indemnité légale de l’école privée. A la demande d’une délégation des représentants de l’école privée, il sera effectué le calcul de cette indemnité à l’aide d’un logiciel. « S’il faut appliquer la loi, nous irons jusqu’au bout », souligne le maire, André Garros. « Si le montant de l’indemnité versée par élève doit être revalorisé de beaucoup plus que le coût de la vie, nous ne verserons plus ce qui n’est pas une obligation, comme l’aide au voyage scolaire ou les aides pour la cantine. »
Source: Sud-Ouest