Le 26/07/2010

310 000 € pour l’ association Pluri’L

Le Loroux-Bottereau (Loire-Atlantique ) – La subvention municipale à l’association Pluri’L (prénommé auparavant l’AFR) s’élève à 310 000 € en 2010. La municipalité du Loroux-Bottereau a signé une convention d’objectifs avec l’association Pluri’L. La subvention municipale à l’association Pluri’L ne devra pas excéder les 4 % d’augmentation par an, et cela calculé en fonction du […]

Le Loroux-Bottereau (Loire-Atlantique ) – La municipale à l’association Pluri’L (prénommé auparavant l’AFR) s’élève à 310 000 € en 2010.

subvention association argent publicLa municipalité du Loroux-Bottereau a signé une convention d’objectifs avec l’association Pluri’L. La subvention municipale à l’association Pluri’L ne devra pas excéder les 4 % d’augmentation par an, et cela calculé en fonction du rapport d’activité fourni par l’association.

« Ces dernières années, nous souhaitions cadrer la demande de subvention et instaurer des règles pour maîtriser le . Et en contrepartie nous laissons à l’association toute liberté dans son fonctionnement. » Respectant ce principe d’indépendance et considérant Pluri’L comme partenaire de son , la ville s’engage désormais par convention à lui donner les moyens de développer et mettre en oeuvre son projet, et lui laisser l’occupation de la maison de l’enfance propriété de la commune. « Cette convention, c’est la reconnaissance d’une association et de son projet, ainsi que son accompagnement logistique et matériel », explique le directeur de la maison de l’enfance Pascal Guérin. Pour une plus grande équité, Plur’L est l’association qui a le plus de quotients familiaux. Depuis 2009, pas moins de treize quotients permettent de calculer la participation financière des familles alors que la Caf n’en dispose que quatre.

source: Ouest-France

Publié par Rédaction le 26/07/10

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  • Par CHER, le 27/07/2010

    On peut supposer que le maintien de 4 tranches de quotients familiaux pour l’attribution des allocations décidées par la CAF est basé sur une notion de simplification ; alors pourquoi faire compliquer lorsque l’on peut faire simple ?

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