Victimes de la CGT, les kiosquiers vont recevoir une subvention de la Mairie de Paris
Pris en otages par les grévistes de Presstalis, qui possède le quasi-monopole de la distribution des quotidiens à Paris, les kiosquiers tirent la sonnette d’alarme.
Selon les représentants des kiosquiers, plus de 41 journées ont été perturbées (pas de livraison de certains quotidiens) depuis le durcissement du conflit en octobre.
La Mairie de Paris a donc voté une aide d’urgence de 200.000 euros, apprend-on dans un communiqué.
La CGT du Livre prouve encore que ses positions radicales ont des conséquences néfastes qui vont bien au-delà des seules usines ou entreprises où leurs troupes sévissent.
Les « jusqu’au-boutistes » de la CGT menacent la pérennité de la presse quotidienne, les sociétés concurrentes de distribution, les vendeurs de journaux…
Et coûtent de l’argent aux contribuables qui mettent la main au portefeuille…
Il est grand temps de couper les vivres aux syndicats voyous.